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Sud-Kivu : Vital Kamerhe a été injustement condamné, Me Éphrem IRAGI sur les raisons de la participation de l'AFDC-A à la marche de l'UNC.

L'Alliance des Forces Démocratiques du Congo et Alliés "AFDC-A" en sigle était aux côtés de l'Union pour la Nation Congolaise "UNC" dans la marche de ce vendredi 7 août 2020, en vue d'exiger la libération du directeur de cabinet du chef de l'État, M. Vital Kamerhe. 

 N'étant pas ni au Cap pour le Changement dont fait partie L'UNC, ni du Front Commun pour le Congo, les deux plateformes qui dirigent la République Démocratique du Congo, l'Alliance des Forces Démocratiques du Congo et Alliés a brisé le silence pour dénoncer ce qu'elle qualifie d'une justice à double vitesse contre Vital Kamerhe.  

Son porte parole provincial, Me Éphrem Iragi parle de la recherche d'une justice équitable qui doit conduire à un État de droit en République Démocratique du Congo qui a commencé avec le dossier 100 jours dans lequel l'honorable Vital Kamerhe a été injustement condamné. 

Cette marche d'ensemble se justifie en outre par le rapprochement de ces deux partis politiques qui sont d'ailleurs dans la socio-démocratie et qui se battent pour l'avènement d'une véritable démocratie et l'État de droit en République Démocratique du Congo.

 "L'AFDC-A et l'UNC sont des partis frères. Des partis qui ont la même idéologique, même doctrine et qui se battent pour les mêmes causes", soutien Me Éphrem IRAGI.  

La participation à la marche était aussi une manière de dénoncer le banditisme politique au pays par le dédoublement de son regroupement politique "AFDC-A".   

Loin de l'idée d'intégrer le Cap pour le changement "CACH", comme d'aucun penserait, la motivation de L'AFDC-A et de son autorité morale est liée à l'intérêt général, comme c'est le cas du dossier contre l'honorable Vital Kamerhe engage l'intérêt de la République Démocratique du Congo .

Me Éphrem IRAGI appelle le président de la République à s'impliquer et veuiller à ce que la vraie justice soit dite pour le président national de l'Union pour la Nation Congolaise M. Vital Kamerhe et pas une justice manipulée ou de plus forts car pour le cas sous examen, il n'y pas eu des preuves tangibles de détournement et le jugement au premier degré s'est fondé sur des suspicions qui ont poussé le juge à condamner même les personnes qui n'étaient pas partie au procès, seulement pour leurs liens avec le directeur de cabinet du chef de l'État, Vital Kamerhe. 

Il note aussi que les premiers juges ont voulu satisfaire à certaines pressions politiques ou à des impérialistes qui ne veulent pas le développement de la République Démocratique du Congo.  

La marche est partie de la place Mulamba jusqu'au gouvernorat de province où un mémorandum adressé au chef de l'État a été lu et déposé.

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