Covid19 : Et si la chasse à la chloroquine avait pour but de préparer le terrain au covid19 ? (Constat libre grands lacs)

Au stade actuel, la pandémie Covid19, n’a ni médicament ni vaccin scientifiquement prouvé. Toutefois, les experts démontrent que seule la chloroquine a démontré son efficacité dans le traitement du nouveau coronavirus. En 2000 l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) avait menacé retirer la chloroquine sur le marché évoquant ainsi des raisons thérapeutiques ou que son rapport bénéfice/risque est devenu défavorable. En 2020, la chloroquine est testée dans le cadre de la lutte contre la pandémie à coronavirus SARS-CoV-2 (Covid-19) avec des risques et des résultats encore discutables.

 Voici les hypothèses que nous avons émises pour arriver à cette question. D’abord, le médicament a été découvert au XVIIe siècle au Pérou en Amérique du Sud par les colons européens. Pendant que les coronavirus ont été découverts dans les années 1960. A lorsque tout le monde ne voulait pas parler du virus chinois, ce mot ne gêne pas le président Donal Trump.

 En France, le professeur Didier Raoult, directeur de l’institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection, qui a réalisé des recherches à ce médicament ancestral a annoncé la nouvelle. Il a  recommandé son utilisation en France pour les patients qui seraient porteurs du coronavirus. Cet antipaludique de plus de 80 ans aurait amélioré l’état de santé d’une centaine de patients en Chine. Et il a d’autres atouts pour la médecine.

Une idée sur la chloroquine

La chloroquine ou chloroquinine est un antipaludique de la famille des amino-4-quinoléines. Elle a été largement commercialisée sous forme d’hydroxychloroquine ou de sels (sulfate ou phosphate). Elle est avec la quinine, dont elle est un substitut synthétique, le traitement qui a été le plus employé, en préventif comme en curatif, contre le paludisme. Elle est aussi très utilisée contre des maladies auto-immunes telles que le lupus et des maladies rhumatoïdes telles que la polyarthrite rhumatoïde.