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Sud-kivu: le SYECO accuse Théo Ngwabidje d'être à la base du non-respect de la gratuité de l'enseignement,

Les  enseignants réunis au sein du Syndicat des enseignants du Congo de l’enseignement primaire, secondaire et technique en province du sud-kivu conditionnent la reprise des cours par l’amélioration de leurs  conditions de vie notamment la suppression des zones salariales, la prise en charge des nouvelles unités ,bref l'application de l'accord de Bwimba signé en décembre 2019.

Ils l'ont décidé au cours d’une assemblée générale qu’ils ont tenue mardi 21 septembre dans la grande salle de l'école primaire Nyamugo en commune de kadutu ville de Bukavu.

Pour Roger Matabaro, secrétaire provincial de syndicats des enseignants du Congo SYECO/Sud-Kivu, la vie des enseignants est toujours en danger et doivent se prendre en charge vu des multiples revendications non prises en compte.

En effet, ils conditionnent également la reprise des cours le 4 septembre 2021 par  la réponse valable du gouvernement congolais. 

Loin de ses revendications, le SYECO  exigé le départ du responsable de l'EPST/sud-kivu 1 pour avoir infligé des sanctions illégales à l'endroit de certains enseignants dans le sous-secteur de l'EPST. Le SYECO prévient également le gouverneur Theo Ngwabidje Kasi sur la sortie son l'arrêté fixa le frais scolaire 2021-2022.

" Le gouverneur lui-même était à la base, car il a discriminé les enseignants de l'école primaire et du secondaire par son arrêté de l'année écoulé, et donc nous lui demandons de sortir son arrêté pour voir cette fois si les erreurs de l'année passée a été respecté’. Pour votre gouverne la rentrée scolaire 2021-2022 s'annonce difficile suite au non prise en compte des revendications des enseignants sur toute l'étendue du territoire national", a-t-il renchérit.

 

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