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Fayulu, Katumbi, Sesanga et Matata ont uni leurs forces pour garantir la tenue d'élections crédibles dans les délais constitutionnels en RDC. Ensemble, ils se sont engagés à mener une action collective vers cet objectif

Dans un communiqué conjoint publié vendredi à Lubumbashi, Martin Fayulu, Moise Katumbi, Delly Sesanga et Augustin Matata ont déclaré leur collaboration pour assurer l'organisation en temps voulu des élections. Les dirigeants appellent les autres opposants à rejoindre leur cause et exhortent le public à résister et à faire preuve de vigilance civique.

Ils ont juré de rester unis dans leur tentative d'établir un véritable état de droit pour le peuple congolais et ont prévu une série d'activités pour faire avancer leur cause.

Une "grande marche" est prévue le 13 mai à Kinshasa, où ils comptent attirer l'attention sur la vie chère, l'insécurité croissante et la misère des populations, ainsi que sur le processus électoral chaotique.

Leurs revendications sont claires : elles exigent la nomination consensuelle des dirigeants de la CENI, une révision de la loi électorale, une refonte de la Cour constitutionnelle et l'arrêt de la manipulation des institutions politiques, judiciaires et fiscales contre les candidats. De plus, ils exigent la liberté de tous les prisonniers politiques.

Leurs demandes incluent la réalisation d'un audit externe des procédures d'inscription des électeurs et la présence d'observateurs nationaux et internationaux.

Dans une déclaration collaborative, ils censurent le style de gestion du pouvoir politique actuel, qui, selon eux, incarne le népotisme, le tribalisme et l'injustice. Ils reprochent aux dirigeants à la tête des institutions d'avoir constamment fait preuve d'un manque de leadership efficace.

Ces dirigeants de l'opposition dénoncent les échecs répétés de l'État et expriment leur inquiétude face aux sous-entendus manifestes de la balkanisation.

Un fort sentiment de désapprobation émane d'eux envers le pouvoir politique actuel. Ils expriment leur inquiétude face au mépris répété du gouvernement de la constitution et des lois du pays.

Il semble que les institutions exécutives, parlementaires, judiciaires, fiscales et policières soient exploitées pour empêcher la participation de certains candidats aux élections présidentielles.

Ces tactiques d'exclusion comprennent des projets de loi discriminatoires, des restrictions de mouvement à l'intérieur ou à l'extérieur du pays et la suppression des moyens de financer leurs campagnes.

Commentaires (Total : 1)

S
Sylvain Mpapo 14/04/2023 21:22:04

Si bien que la coalition est là, et nous savons que l'Union fait la force. Que Dieu omniprésent et omniscient interpelle la conscience tranquille de tout en chacun pour la bonne réussite des élections présidentielles

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