RDC: Les militants pro-démocratie proposent que le gouvernement , examine les principes fondamentaux du régime rwandais. Le but de cet examen est de déterminer la meilleure façon de répondre aux actes d'agression
Floribert Anzuluni et Rigobert Bihuzo Minanio, tous deux militants pour la démocratie, ont exhorté le gouvernement congolais à enquêter sur les racines du régime rwandais afin qu'il puisse répondre efficacement aux agressions et aux conflits que subissent les peuples de l'Est depuis plus d'une décennie.
Le 10 mai 2023, ils ont publié une déclaration révélant que le régime Rwandais utilise l'indéniable génocide de 1994 comme justification de choix antidémocratiques. Cela se fait en blâmant les partenaires internationaux, dont certains sont accusés d'être complices.
La RDC est également soumise à une rhétorique similaire à travers l'utilisation de la propagande qui insinue l'existence d'un stratagème congolais visant à éradiquer les communautés tutsi résidant en RDC.
Selon Floribert Anzuluni, membre du mouvement citoyen Filimbi, le Rwanda considère la région orientale de la République démocratique du Congo comme son principal bastion pour les forces d'opposition.
Cette opposition comprend des individus qui faisaient autrefois partie des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR). Les FDLR sont composées principalement d'anciens soldats qui ont fui en grand nombre vers la RDC après la fin du génocide et la prise de contrôle par le Front patriotique rwandais (FPR).
De plus, il est important de prendre en compte l'impact des réseaux sociaux sur notre quotidien. Ces dernières années, l'utilisation des médias sociaux est devenue de plus en plus répandue, affectant la façon dont nous communiquons, consommons des informations et formons nos opinions.
Alors que de plus en plus de personnes se tournent vers les médias sociaux comme principale source d'actualités et d'informations, il est crucial d'être conscient des implications et des conséquences potentielles que cela peut avoir sur notre santé mentale, notre vie privée et notre bien-être général.
De plus, les médias sociaux ont également été utilisés comme outil d'activisme, divers mouvements de justice sociale gagnant en popularité et en visibilité grâce aux plateformes en ligne. Pour l'instant, la résistance de l'opposition n'est pas particulièrement intense et présente peu de danger.
Cependant, le régime rwandais craint que l'Est de la République démocratique du Congo ne permette pas une répétition des tactiques qui lui avaient précédemment accordé le pouvoir.
Pour lutter contre cela, ils ont créé divers groupes armés, dont le M23. L'un de leurs objectifs ultimes est d'intégrer ces rebelles dans l'armée, renforçant ainsi les alliés du Rwanda au sein du système congolais et répondant à la fois à des objectifs politiques et sécuritaires. "Rigobert Bihuzo Minani aborde le thème du financement des organisations rebelles.
Selon notre source, il est suggéré que le soutien de Kagame aux factions armées en République démocratique du Congo est fortement influencé par ses intérêts économiques. L'article poursuit en déclarant que malgré le classement constant du Rwanda comme l'un des pays les plus performants d'Afrique en termes de gouvernance, le pays est toujours en proie à la pauvreté. Selon Rigobert Bihuzo, spécialiste des conflits, l'approche principale du Rwanda est de s'imposer comme un pays stable et bien géré qui peut fonctionner comme un centre de transformation et d'exportation de ressources naturelles précieuses comme le coltan et l'or, qu'il ne produit pas.
Cela vise à répondre aux demandes des consommateurs des pays hautement industrialisés pour des produits finis comme les smartphones. D'autre part, le Rwanda a besoin de trouver des ressources alternatives et introuvables pour financer sa stratégie de contrôle de la région orientale de la RDC.
C'est là que les groupes armés sont les principaux acteurs sur le terrain, impliqués dans l'exploitation illégale. Ces défenseurs des droits humains ont avancé plusieurs suggestions, notamment : Pour que les dirigeants congolais puissent s'attaquer aux conflits en cours, ils doivent posséder une compréhension globale des problèmes qui les entourent.
Il est également important que ce leadership ait une stratégie bien définie qui précise comment rétablir le contrôle de l'État sur l'ensemble du territoire. Pour assurer un environnement politique stable, il est crucial de doter la RDC de véritables institutions et d'une stabilité politique.
Le gouvernement congolais devrait accorder la priorité à la cessation de l'impunité. Il est impératif que nos partenaires internationaux déploient tous leurs efforts pour convaincre le président Kagame que sa stratégie actuelle n'est pas avantageuse. Cette stratégie provoque non seulement une déstabilisation en République démocratique du Congo mais affecte également toute la région des Grands Lacs.
Afin de démanteler les réseaux qui profitent de l'économie des conflits, il est crucial de renforcer et de mettre en œuvre des mesures efficaces telles que les sanctions ciblées et la traçabilité. Ces mécanismes sont nécessaires pour neutraliser les entités qui profitent de la perpétuation de la guerre et de la violence.