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RDC: En 2023, Matata-Katumbi-Sesanga appelent à un dialogue entre les parties prenantes, sans inclure Fayulu

Dans un mémorandum conjoint, des personnalités congolaises telles que Moïse Katumbi, Delly Sesanga et Augustin Matata ont appelé à un dialogue constructif entre les parties concernées afin d'aligner les composantes techniques de la procédure électorale en cours en République démocratique du Congo (RDC).

Pour les candidats potentiels à la prochaine élection présidentielle, la mise en place d'un cadre concret de concertation entre les partis concernés est jugée cruciale.

Ce cadre permettrait une surveillance cohérente du processus électoral. Afin d'assurer la crédibilité des élections, il est impératif d'apporter de la transparence dans les détails concernant la répartition des quotas entre les autorités de l'Union sacrée, les dirigeants de la CENI et d'autres personnalités influentes qui garantissent les postes électifs lors des prochaines élections.

En outre, il est crucial de réévaluer la loi électorale, en particulier ses dispositions litigieuses, telles que le mode de scrutin et la divulgation des résultats partiels du vote par bureau de vote. En clarifiant toute ambiguïté, tous les candidats peuvent être assurés d'un processus électoral équitable et juste, tel que proclamé par les autorités.

La profanation des églises est un grave problème qui doit être résolu dans le Congo d'aujourd'hui. Les actes de vandalisme et de violence n'ont pas leur place dans notre société.

Sama Lukonde insiste sur l'importance de reconnaître et de rectifier ces actes, car ils vont à l'encontre de nos valeurs et croyances. Il est crucial de promouvoir la paix, l'harmonie et le respect des institutions religieuses.

Selon la source susmentionnée, les adversaires congolais expriment également le souhait de connaître le nombre total de machines fournies par Miru Systems, ainsi que leur répartition dans les centres d'enregistrement. Ils demandent également de l'aide pour cartographier toutes les zones opérationnelles.

De plus, leur mémorandum dénonce avec force la manipulation des institutions politiques, judiciaires et fiscales comme moyen de cibler les candidats présidentiels faisant partie de l'opposition, à savoir Matata Ponyo et Moïse Katumbi.

Ils expriment également leur désapprobation face aux arrestations et détentions injustifiées d'individus affiliés aux candidats présidentiels de l'opposition, notamment Lens Olelanga, Mike Mukembayi, Daniel Safu, Salomon Kalonda et Franck Diongo.

Une fois de plus, les dirigeants de l'opposition ont imploré le régime actuel de cesser d'intimider et d'appréhender les journalistes alignés sur leur faction politique.

En outre, ils exigent l'élimination des contraintes imposées aux candidats présidentiels de la République, garantissant leur liberté de mouvement lors des prochaines élections. Martin Fayulu n'était pas affilié à cette déclaration, bien qu'il ait signé la déclaration de Lubumbashi.

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