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RDC : Le Club de pro-justiciers congolais demande l'implication du chef de l'État pour le retour sain et sauf de Kalev Mutond

Le club de pro-justiciers congolais demande au chef de l'État congolais, Félix Tshisekedi, de faciliter le retour au pays de l'ancien directeur général du service national de renseignement, M. Kalev Mutond et de protèger sa famille tant menacée par les prétendues victimes, mais aussi lui permettre de collaborer avec les institutions de la République dans le but d'apporter la lumière aux griefs portés contre lui.

Cette structure qui assure la promotion des droits et valeurs humaines, estime qu'à sa qualité de garant de bon fonctionnement des institutions, le président de la République peut user de son droit de regard dans l'affaire Kalev, une question qui retient actuellement l'attention de tout le congolais.

Elle s'appuie sur le fait que M. Jean-claude Muyambo et consorts, qui avaient saisi le Paquet Général près la cour d'appel de Kinshasa/Gombe et qui, en pleine instruction, ont saisi le tribunal du même parquet par citation directe enrôlée le 2 Avril 2021, sous RP. 27.575/I, pour les mêmes faits en instructions,  ne se sont jamais présentés aux audiences, faisant référence à celles du 14 juin et 19 juillet 2021. 

"En application du principe de double emploi, nous pensons que c'est judicieux que les parquets saisis pour les mêmes faits, classent à leurs niveaux les causes pendantes devant les tribunaux, et par ricochet, retirent purement et simplement le mandat d'amener et l'avis de rechercher émis contre cet ancien haut fonctionnaire de notre agence nationale des renseignements à la personne de Kalev Mutond", renchérit Lucien Buhendwa, coordonnateur National  du club de pro-justiciers congolais

L'appareil judiciaire n'étant pas un outil d'intimidation ou de vengeance, cette structure espère voir la justice désappointer tous les auteurs de plaintes qu'elle juge de farfelues, fantaisistes, téméraires et vexatoires et qui semblent oublier que le crédo du chef de l'État, "l'État de droit".

L'ancien directeur général de l'Agence National de Renseignement "ANR" est accusé de tortures, menaces de mort, arrestations arbitraires et tentative d’assassinat.

 

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