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La mort de Jésus, librement acceptée, est le signe de l'incroyable amour de Dieu pour nous : Jésus donna sa vie pour sauver la nôtre.(Père Xavier Bugeme sj)

Mes chers Paroissiens, chers frères et sœurs, Paix ! 

Je vous envoie la méditation pour ce lundi de la 28ème semaine TO Paire. 

Lecture Ga 4, 22-24.26-27.31-5, 1

PS 112, 1-7

Évangile Lc 11, 29-32. 

Voilà une foule qui grossit.

Un attroupement sur un trottoir. Il se passe quelque chose ! De nouveaux venus se sont ajoutés à ceux qui étaient déjà là. 

La raison de cet attroupement, le désir du merveilleux, du sensationnel. Les foules sont avides de ça. Mais Jésus refuse de faire ce "signe" merveilleux qu'on attend de lui.

Et il qualifie ceux qui font cette demande de "mauvais". Il est curieux que les contemporains de Jésus aient pu demander un signe, alors qu'il a fait tant de miracles sous leurs yeux. Mais on en a jamais assez !  

Pour nourrir notre prière, je vous propose ce texte de l'Abbé Roger Landry (www.evangeli.net).  Aujourd’hui Jésus nous indique que le signe qu’Il va donner à la “génération mauvaise” est lui-même comme le “signe de Jonas” (cf. Lc 11,30).

De la même façon comme Jonas s’est laissé jeter par-dessus bord afin d’apaiser la tempête et sauver les vies des marins, Jésus s’est aussi laissé jeter par-dessus bord pour apaiser les tempêtes du péché qui menacent nos vies.

Et comme Jonas a vécu trois jours dans le ventre de la baleine avant d’être recraché ensuite sur le rivage, Jésus a aussi vécu dans le ventre de la terre avant de marcher en dehors du tombeau vide.

 Le signe que Jésus va donner aux “mauvais” de chaque génération c’est le signe de sa mort et de sa résurrection. Sa mort, librement acceptée, c’est le signe de l’incroyable amour de Dieu pour nous : Jésus donna sa vie pour sauver la nôtre.

Sa résurrection parmi les morts c’est le signe de son divin pouvoir. C’est le signe le plus puissant et émouvant jamais donné. 

Mais Jésus est encore le signe de Jonas dans un autre sens.

Jonas était une icône et un agent de conversion.

Dans sa prédication, «Dans quarante jours Ninive sera détruite» (Jon 3,4) les Ninivites païens décident de jeûner et de se repentir, car tout le monde, depuis le roi aux enfants et animaux se sont couverts de la toile de jute et des cendres.

Pendant les quarante jours du Carême, nous avons quelqu’un “beaucoup plus grand que Jonas” (cf. Lc 11,32) qui prêche notre conversion —Jésus lui-même— conversion qui devrait être aussi consciencieuse. 

«Car Jonas était un servent», Saint Jean Chrysostome écrit en la personne du Christ, «mais moi je suis le Maître ; et lui a été recraché par la baleine, mais moi Je suis ressuscité de la mort ; et lui proclamait la destruction, mais mois, je suis venu en prêchant la Bonne Nouvelle et le Royaume». 

Il y a une semaine, le Mercredi des Cendres, nous nous sommes couverts de cendres et chacun a entendu les paroles de la première homélie de Jésus, «Repentez-vous et croyez dans l’Évangile» (cf. Mc 1,15). La question pour nous c’est : Avons-nous déjà répondu avec une conversion profonde comme les Ninivites et avons embrassé cet Évangile ?

de la baleine avant d'être recraché ensuite sur le rivage, Jésus a aussi vécu dans le ventre de la terre avant de marcher en dehors du tombeau vide. 

Le signe que Jésus va donner aux “mauvais” de chaque génération c'est le signe de sa mort et de sa résurrection.

Sa mort, librement acceptée, c'est le signe de l'incroyable amour de Dieu pour nous: Jésus donna sa vie pour sauver la nôtre. Sa résurrection parmi les morts c'est le signe de son divin pouvoir. C'est le signe le plus puissant et émouvant jamais donné. 

Mais Jésus est encore le signe de Jonas dans un autre sens. Jonas était une icône et un agent de conversion.

Dans sa prédication, «Dans quarante jours Ninive sera détruite» (Jon 3,4) les Ninivites païens décident de jeûner et de se repentir, car tout le monde, depuis le roi aux enfants et animaux se sont couverts de la toile de jute et des cendres.

Pendant les quarante jours du Carême, nous avons quelqu'un “beaucoup plus grand que Jonas” (cf. Lc 11,32) qui prêche notre conversion —Jésus lui-même— conversion qui devrait être aussi consciencieuse. 

«Car Jonas était un servent», Saint Jean Chrysostome écrit en la personne du Christ, «mais moi je suis le Maître; et lui a été recraché par la baleine, mais moi Je suis ressuscité de la mort; et lui proclamait la destruction, mais mois, je suis venu en prêchant la Bonne Nouvelle et le Royaume». 

Il y a une semaine, le Mercredi des Cendres, nous nous sommes couverts de cendres et chacun a entendu les paroles de la première homélie de Jésus, «Repentez-vous et croyez dans l'Évangile» (cf. Mc 1,15).

La question pour nous c'est: Avons-nous déjà répondu avec une conversion profonde comme les Ninivites et avons embrassé cet Évangile? 

Réflexion recueillie et proposée par le Père Xavier Bugeme sj Curé de la Paroisse Christ Roi de Mangobo à Kisangani.

 

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